Manureva Tours vous emmène au bout du monde, face à la mer, un rêve qui devient réalité.
Imaginez quitter le goudron et la civilisation, vous arrivez sur le Motu Piti A’au sans aucune autre issue que le Crusoé planté au milieu de la nature. Vous êtes seuls, face à la mer baignée de soleil, et vous prenez possession de votre charmant bungalow construit avec des matériaux locaux, en bois de Aito, confortable et romantique. Ajoutez-y des pilotis, une vue sublime sur un océan transparent et le rêve s’installe.
Alice, votre hôtesse, vous y accueille avec chaleur et bienveillance. Lecture sur la terrasse, sieste à l’ombre des cocotiers après avoir piqué une tête dans la grande bleue qui s’étale à vos pieds ou dans la piscine. Un lieu idéal pour se ressourcer et s’imaginer Robinson moderne.
Cette île déserte entourée d’une eau bleu turquoise et de sable fin offre un cadre paradisiaque
Au réveil, un léger bruit, froissements d’ailes qu’accompagnent des claquements de bec enjoués. Les yeux ouverts, vous découvrez des oiseaux de mer jouant à se laisser porter par le vent.
Alice et Nicolas proposent une cuisine maison de qualité avec des produits locaux. Un délicieux petit déjeuner vous sera servi sous les cocotiers, face à l’océan, et le dîner sera aux chandelles, sous les étoiles.
Le Crusoe est le refuge des amoureux de calme entre soi. Une pause dans l’air du temps pour éviter le « burn-out ».
Géographie de l’île mythique de Bora Bora
Incontestablement la plus célèbre des îles polynésiennes, Bora Bora se trouve à deux cent soixante kilomètres au nord-ouest de Tahiti, dans le sous-ensemble insulaire des Îles-Sous-Le-Vent qui forme la partie nord de l’archipel de la Société.
De tous temps, elle fut décrite comme la plus belles des îles. Mais c’est l’installation d’une base militaire américaine en 1942 qui la fit connaître du grand public à travers le monde.
De son vrai nom Pora Pora (« première née », en langue Raromatai*), Bora Bora est aussi parfois appelée Mai te pora (« créée par les dieux »).
L’île est petite puisque sa superficie totale atteint à peine 38 km². Au cœur du lagon, la terre principale qui accueille les villages de Vaitape, Faanui et Anau ne mesure que 8 km du nord au sud et 5 km d’est en ouest. L’épine dorsale de l’île est un ensemble de chaînes basaltiques, témoin du volcan que fut Bora Bora, et de son cratère. Les chaînes principales sont bordées de falaises abruptes. Les plus hauts sommets culminent à 727 m au mont Tai-manu et à 661 m au mont Pahia. Au pied de ces chaînes et de leur talus d’éboulis, se déploie la plaine côtière.
La barrière de corail est presque continue et très large, sa partie sud est recouverte de quelques cm d’eau mais, au nord et à l’est, il s’élève de 2 ou 3 m au dessus du lagon, donnant naissance à cette chaîne de motu plus ou moins développés. Le lagon, très poissonneux, est remarquable par son étendue et sa beauté. Sa couleur varie avec la profondeur : indigo foncé lorsqu’elle est importante (passe Teavanui, baies de Poofai et de Faanui), toutes les nuances pastel du bleu et du vert ailleurs. Les coraux, quand ils sont presque à fleur d’eau, et la faune qui les colonise apportent au spectacle leurs propres colorations : jaune, rouge, bleu ou violet.
L’histoire de Bora Bora
C’est autour du IVe siècle de notre ère que les premiers colons polynésiens abordèrent à Bora Bora, qu’ils baptisèrent Vava’u.
Le premier navigateur occidental à signaler l’existence de l’île dans son livre de bord fut le Hollandais Jakob Roggeveen, en 1722. Il fut suivi par James Cook, qui la porte sur ses cartes en 1769 mais n’y débarque qu’en 1777.
De la longue période qui précède le contact, nous ne savons que très peu de choses, les généalogies ne remontant pas au-delà de Ofa’i-Honu, premier ari’i connu. Il est toutefois intéressant de noter qu’il était d’une lignée royale différente de celle qui régnait sur Havai’i (Raiatea), pourtant très proche. Rapidement, les deux familles s’unirent par le biais de mariages et régnèrent longtemps sur ces îles, étendant plus tard leur emprise jusqu’à Tahiti.
C’est en 1842 que l’île de Bora Bora passe sous protectorat français à la suite d’un épisode guerrier très particulier.
Après l’attaque de Pearl Harbour en 1941, les Américains font de Bora Bora leur base militaire dans le Pacifique Sud. C’est ainsi qu’y fut réalisé un aérodrome qui resta le seul de Polynésie française jusqu’en 1962, date à laquelle fut réalisé celui de Tahiti Faa’a afin de permettre l’installation du CEP et la réalisation du programme nucléaire français dans le Pacifique Sud.
Pendant ces cinq années d’occupation, ce sont près de cinq mille GI qui résidèrent sur l’île en permanence, alors que la population polynésienne comptait à peine plus de deux mille âmes…
En 1947, l’armée américaine quitte les lieux, laissant derrière elle de nombreux souvenirs : l’aéroport de Motu Mute et quelques autres infrastructures permirent un développement économique beaucoup plus rapide que dans d’autres îles polynésiennes , ainsi que bon nombre d’enfants.
Pensez a prendre : Des chaussures en plastic – produits solaires et anti moustiques – des bons bouquins !
Le prix : Offre spéciale Manureva Tours : 4 nuits a 56000 cfp – Demi pension à 4200 cfp / jour/ personne.
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