Le saule pleureur (Salix babylonica) est un arbre originaire de Chine et faisant partie de la famille des Salicacées. Il se caractérise par de longues branches en lianes très flexibles et une allure tombante. Ses feuilles sont simples, longues et étroites, et ses fleurs sont blanches. Il existe de très nombreuses espèces de saules, mais le saule pleureur est la plus célèbre. Cet arbre a inspiré les peintres et est synonyme de romantisme.
Type : Arbre
Hauteur : 10 m à 25 m
Couleurs des fleurs : Blanc
Exposition souhaitée : Ensoleillée
Type de sol : Bien drainé, Humifère
Feuillage : Caduc
Assainissant : Non
Plantation d’un saule pleureur
L’arbre saule pleureur est très souvent planté près de points d’eau, pour une raison esthétique dans un premier temps, mais également parce qu’il apprécie grandement les sols humides. Le saule pleureur, qui peut atteindre une hauteur allant de 10 à 25 mètres, se plante par bouturage de rameaux d’environ 30 centimètres, à l’automne. Il nécessite un sol humide et bien drainé, et une position particulièrement ensoleillée pour s’épanouir. La floraison a généralement lieu dans le courant de l’été.
Comment entretenir un saule pleureur ?
Le saule pleureur a besoin d’un peu d’entretien pour s’embellir. Il faut l’arroser régulièrement dès le départ, le pailler, ainsi que le tailler en supprimant les branches mortes ou malades pour qu’il reste en bonne santé. Il est très sensible aux pucerons, à la rouille ou encore aux chenilles qui en font leur abri préféré.
Taille du saule pleureur
Le saule pleureur prenant vite de l’ampleur est à planter loin des habitations. Pour éviter qu’il ne prenne trop de place et qu’il fasse beaucoup d’ombre, une taille franche s’impose en février-mars sur toutes ses branches. De plus, cela le revigorera et le protègera des maladies.
Symbolique du saule pleureur
En Chine, l’arbre est un symbole d’immortalité et de communication avec le ciel. Au Tibet, il est l’arbre de vie. La tombe de Napoléon 1er est toujours accompagnée d’un saule pleureur.
Vertus du saule pleureur
Son écorce est connue depuis l’Antiquité pour ses propriétés curatives. Elle guérissait les fièvres et soulageait de nombreuses de douleurs. Pharmaciens et chimistes ont réussi à synthétiser la molécule vertueuse qui est aujourd’hui la substance active de l’aspirine (acide acétylsalicylique).
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