Ho’oponopono, place à l’amour et au pardon

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Ho’oponopono. Un nom intriguant derrière lequel se cacherait le secret de la paix intérieure. Du bonheur, même.

Ho’oponopono, késako ?
Parfois traduit en « remettre les choses en ordre, rétablir l’équilibre », l’ho’oponopono est un art ancestral de guérisseurs hawaïens. Il consiste à nettoyer sa mémoire de toute souffrance toxique.
On pourrait ainsi se repentir et se réconcilier avec soi-même, se reconnecter avec son Moi profond.
L’Ho’oponono nous promet de devenir maître de notre quotidien et d’accéder à la vie que nous voulons.
Sur le papier, tout ça à l’air plutôt alléchant.

La notion de mémoire selon Ho’oponopono :
Notre mémoire s’est construite sur ce que l’on a vécu dans le passé. Elle est à l’origine de croyances faussées par notre perception déformée de la réalité.
Cette mémoire qui nous enferme et nous bride fixe en nous des pensées erronées. Ces faux jugements seraient à l’origine de blocages, plus ou moins anciens, nous empêchant d’être heureux. À nous de nous en libérer.

L’ho’oponopono en pratique :
Tout d’abord, l’ho’oponopono se pratique en solitaire.
Comment ? En méditant sur les problèmes qui gâchent notre quotidien.
La technique peut se matérialiser sous la forme d’un jeu de cartes. On trouve inscrites sur ces cartes des affirmations telles que « je choisis la paix et la liberté », « je prend soin de mon enfant intérieur »…

Apparaissent également les maîtres mots de l’ho’oponopono : « Désolé », « Pardon », « Merci », « Je t’aime ».
Répéter ces mots serait le moyen de guérir d’un problème précis. Mais que signifient-ils ?

Se répéter le mot « désolé », par exemple, est le premier pas vers la délivrance d’une pensée toxique : On reconnait sa responsabilité et on indique que l’on est prêt à se corriger.
L’important pour qu’il soit efficace, c’est de le pratiquer sans arrêt. L’ho’oponopono doit faire partie intégrante du quotidien. Pas besoin d’y croire, il suffit de le faire parait-il.

Pratique obscure ou réel soutient ?
Ho’oponopono est un instrument libérateur (à condition d’y comprendre quelque chose et d’être réceptif à cette croyance).
Fini la haine, la jalousie, la rancune. Place à l’amour, la compréhension, le pardon.
A priori, le concept ne peut pas faire de mal.
Et cela semble très sérieux. Certains médecins s’y intéressent de près en tout cas.

Pour en savoir plus :

> Ho’oponopono, Le secret des guérisseurs hawaïens
par le Dr Luc Bodin et Maria-Elisa Hurtado-Graciet,
Editions Jouvence,

> Sagesse & puissance de Ho’oponopono
Cartes de guérison hawaïenne et livret explicatif,
par Marieli Hurtado-Graciet et Jean Graciet,
Editions Jouvence,

> 50 exercices d’Ho’ponopono
par Virgile Stanislas Martin,
Editions Eyrolles,


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