Netflix : La Casa de Papel, une pépite à ne pas manquer

Si vous ne l’avez pas déjà vu, vous avez certainement du entendre parler de la série espagnole qui fait fureur sur Netflix : La Casa de Papel.

C’est l’histoire captivante de la Maison Royale de la Monnaie d’Espagne, qu’un génie, « le professeur »,  décide de prendre pour cible et organise son cambriolage, mais pas petit vol banal ou ordinaire d’amateurs… Il veut le casse du siècle et pour cela, il  y mettra les moyens !

Il commence par rassembler une équipe de 8 personnes qui ne se connaissent pas et qui s’identifieront entre eux  par un nom de ville : Moscou, Rio, Helsinki… Chacun d’entre eux travaillera selon sa spécificité (hacker, faux monnayeur, truands de l’est…).

Le professeur, cerveau de l’opération,  leur imposera un entrainement spécifique qui durera 5 mois. Ils apprendront à appréhender et anticiper physiquement et mentalement, tous les coups et avatars qu’ils pourraient rencontrer sur leur chemin… Le braquage parfait en quelque sorte. Il omettra un seul élément : l’amour qui sera susceptible d’interférer dans le cours des événements et l’inspecteur Raquel Murillo saura le lui rappeler à la fin de la saison 1 .

Casa de Papel est une intrigue très originale car  à la place d’un braquage classique, on a a faire au contraire  : on peut dire sans trop dévoiler l’intrigue, que les planches à billets ne vont pas chômer. La scène où Nairobi (brillante Alba Flores)  danse et encourage de la voix la production de billets est géniale !

Toute l’action se passe à l’intérieur de la Casal de Papel où  67 otages et 8 cambrioleurs vont devoir se cotoyer et apprendre à vivre ensemble. Comme dans tous les films du genre, on s’attend à des scènes violentes : celles-ci sont absentes et on est un peu perdu et faire la distinction entre les gentils et les méchants est presque impossible. D’autant plus que pour rendre la tâche plus difficile et tromper la police, tout le monde porte la même combinaison rouge et un masque à l’effigie de Salvador Dali.

Un thriller où tous s’enchaînent au millimètre près et où les rebondissements et joutes police/cambrioleurs se succèdent sans temps morts au cours des premiers épisodes à tel point que l’on devient addict dès le début. On n’a pas le temps de s’ennuyer durant les treize épisodes que compte cette première saison (ça, c’est le découpage by Netflix, en Espagne, le format est de 9 épisodes de 70 minutes environ). C’est drôle, bien troussé, addictif, bien joué.

Si vous avez déjà visionné la saison 1, sachez en tout cas que vous n’aurez pas longtemps à patienter avant de découvrir la suite des aventures de Tokyo et compagnie : Netflix va mettre en ligne une ultime partie 2, composée de six épisodes, le 6 avril prochain.


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